succés 1

Ici, nous verrons, que les décentralisations si elles surviennent à dépasser l’obstacle des conflits sociaux et organisationnels, connaissent de vifs succés.

Tel est l’exemple de Michelin.

Bien que les difficultés ne soient pas moindres ; avec de bons directeurs et de bons gérants une entente et une coordination bien établies la délocalisation ne peut avoir que des effets positifs sur leurs profits.

Premièrement, si il y a délocalisation, c’est dans tous les cas dans le but d’augmenter leur chiffre d'affaire.

(nous pouvons penser que les risques ont étés calculés !! )

Soit parce que le coût de la main d’œuvre, les compétences des individus, les ressources naturelles, les positions géographiques … sont favorables

Soit parce que va se développer, de nouvelles branches d’activités qui ne serviront qu’a accroître leur bénéfice.

De part ces deux premières causes, la délocalisation ( si l’anticipation est bien mesurée) ne peut être que bénéficiaire.

Deuxièmement, un affaiblissement de la culture paternaliste n’est pas « grave » dans la mesure où elle n’entrave pas la productivité des salariés…

En effet, les initiatives individuelles même si elles ne correspondent pas aux valeurs premières, peuvent être bénéfiques à non seulement l’organisation du travail mais aussi à la productivité ; les salariés se sentant plus valorisés, peuvent s’investir plus dans leurs tâches. De plus, une organisation spécifique et adaptée à chaque entreprise ne peut que faire « marcher » l’entreprise.

A quoi servirait alors, d’imposer des règles qui ne feraient qu’accentuer « le décalage » entre pays et créraient, certaines incohérences, et inéfficacités.

Mieux vaut, au détriment de l’entretient d’une seule et même culture que toutes les entreprises Michelin s’adaptent en fonction de leurs besoins et leurs capacités et trouvent leurs propres valeurs. Ce dans le but, bien entendu, de toujours améliorer les conditions de travail et de faire accroître leur chiffre d’affaire.