Explication de la carte :
v
Remarques
faites à partir de la carte :
Sur le marché :
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L’Europe
et L’Alena dominent le marché du pneu
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L’Amérique
du Sud et L’Afrique sont un marché en voie de développement
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L’Asie est une
zone à conquérir |
Répartition des salariés :
( en % )
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Zone Alena :
27 000
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Europe :
81 000
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Afrique :
3000
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Amérique du
Sud : 5000
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Triade :
14 000
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Centre de recherche et développement
:
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Europe, USA,
et Japon seulement
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Site
naturel :
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Au
Brésil et au Nigéria
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v
Remarques
faisant appel aux documents sources et à la réfléxion personnelle :
Dès
1906, le Groupe Michelin s’internationalise, pour répondre aux attentes
du marché du pneumatique. Michelin a commencé par installer
ses unités de production à proximité d'usines automobiles ; puis
pour des raisons économiques ( baisser ses coûts de production, par exemple ) le Groupe
créé des sites sur les lieux d'extraction des ressources
naturelles utiles à la fabrication de pneu (plantation d'hevéas), où la main d’œuvre coûte
peu cher.
Mais aussi dans le but d'augmenter sa part de
marché à l'étranger; Michelin installe des unités de production dans
divers pays : Elle fait des investissements directs à l'étranger.
La
tentative d’implantation des usines aux USA sera au début difficile
(fermeture), il faudra attendre 1989, que Michelin rachète
Uniroyal-Goodrich pour pouvoir enfin devenir le 2nd pôle mondial du
groupe (avec en tête l’Europe Occidentale).
Cependant
ces deux dernières décennies, Michelin , « gagne du terrain » :
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Grâce
à la dispariton des bannières douanières
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A
la baisse des coûts de transports
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A
l’unification des marchés
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Et
adopte une nouvelle organisation : la DIT (division
internationale du travail) Chaque usine peut avoir sa spécificité
en fonction de ce que son "emplacement" propose. C'est à
dire, des filiales-relais (conception grâce aux "cerveaux")
dans les PDEM, et des filiales ateliers dans les PED (production grâce à
la main d 'oeuvre peu coûteuse).
Nous
pouvons remarquer ainsi une grande extention des firmes Michelin et aussi
en déduire de fortes dépenses autant en « charges internationales »
qu’en investissements (recherche et développement).
Cependant
le Groupe connaît quelques limites :
En
effet, l’importance du nombre de ces délocalisations entraîne bien des
frais.
Ainsi
les gérants doivent prendre en considération le fait que leur
modernisation (parfois trop rapide) leurs « innovations » généralisées
à l’ensemble des sites, est trés couteuses.
De
plus, les délocalisations faites dans les zones rurales telle l’Irlande
du nord, en raison du faible coût de la main d’œuvre peu encline à
se syndiquer…. ont aujourd'hui moins de raison d'être, les avantages économiques
tendant à disparaître (apparition des syndicat, réglementation
des conditions de travail….)
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