B.Caractéristiques des délocalisations

1.Positionnement des filliales de Michelin

CLIQUEZ SUR LA CARTE pour un agrandissement !!


PLAN de        l'étude : 


A.Présentation

B.Caractéristique

1.position             Vous êtes ici !!

2.historique

3.ressources

4. concurrence

    a.tableau

    b.carte

5.rachats 

C.Résultats

1.difficultés 1

2.difficultés 2

3.succés 1

4.succés 2

D.Conclusion

 

Accueil                                                                          Contact

Explication de la carte :

  v    Remarques faites à partir de la carte :

Sur le marché :

 L’Europe et L’Alena dominent le marché du pneu

 L’Amérique du Sud et L’Afrique sont un marché en voie de développement

L’Asie est une zone à conquérir 

 

Répartition des salariés :     ( en % )

 Zone Alena : 27 000

 Europe : 81 000

 Afrique : 3000

 Amérique du Sud : 5000

 Triade : 14 000

 

Centre de recherche et développement :

 Europe, USA, et Japon seulement  

 Site naturel :

Au Brésil et au Nigéria

   v    Remarques faisant appel aux documents sources et à la réfléxion personnelle :

 

Dès 1906, le Groupe Michelin s’internationalise, pour répondre aux attentes du marché du pneumatique. Michelin  a commencé  par installer ses unités de production à proximité d'usines automobiles ; puis pour des raisons économiques ( baisser ses coûts de production, par exemple ) le Groupe créé des sites sur les lieux d'extraction des ressources naturelles utiles à la fabrication de pneu (plantation d'hevéas), où la main d’œuvre coûte peu cher.  Mais  aussi  dans le but d'augmenter sa part de marché à l'étranger; Michelin installe des unités de production dans divers pays : Elle fait des investissements directs à l'étranger.

La tentative d’implantation des usines aux USA sera au début difficile (fermeture), il faudra attendre 1989, que Michelin rachète Uniroyal-Goodrich pour pouvoir enfin devenir le 2nd pôle mondial du groupe (avec en tête l’Europe Occidentale).

 Cependant ces deux dernières décennies, Michelin , « gagne du terrain » :

  Grâce à la dispariton des bannières douanières

   A la baisse des coûts de transports

   A l’unification des marchés  

Et adopte une nouvelle organisation : la DIT (division internationale du travail)   Chaque usine peut avoir sa spécificité en fonction de ce que son "emplacement"  propose. C'est à dire, des filiales-relais (conception grâce aux "cerveaux") dans les PDEM, et des filiales ateliers dans les PED (production grâce à la main d 'oeuvre peu coûteuse).

Nous pouvons remarquer ainsi une grande extention des firmes Michelin et aussi en déduire de fortes dépenses autant en « charges internationales »  qu’en investissements (recherche et développement).

Cependant le Groupe connaît quelques limites :

En effet, l’importance du nombre de ces délocalisations entraîne bien des frais.

Ainsi les gérants doivent prendre en considération le fait que leur modernisation (parfois trop rapide) leurs « innovations » généralisées à l’ensemble des sites, est trés couteuses.

De plus, les délocalisations faites dans les zones rurales telle l’Irlande du nord, en raison du faible coût  de la main d’œuvre peu encline à se syndiquer…. ont aujourd'hui moins de raison d'être, les avantages économiques  tendant à disparaître (apparition des syndicat, réglementation des conditions de travail….)

Page précedente                                                    Page suivante